Dans la plupart des cas, on peut déterminer dans quelle zone il y aura un risque de rencontrer un des phénomènes météorologiques provoquant des turbulences. Le pilote va alors pouvoir adapter son trajet avant même son départ, en volant par exemple à une altitude plus calme ou en évitant des régions trop agitées…
Une fois en vol, trois éléments permettent de connaître les régions les plus turbulentes :
– les radars météos embarqués dans tous les avions et qui donnent un préavis de plus d’une heure sur les nuages les plus gros (comme les cumulonimbus),
– les mises à jour des services météo des aéroports survolés pendant le trajet de l’avion,
– les échanges radios entre les pilotes, qui s’avertissent toujours les uns les autres lorsqu’ils vienent de rencontrer une zone turbulence.
Bonjour j’ai bien lu toutes vos explications. Je pars le 10 juillet de Marseille pour Montréal et j’ai une véritable phobie … je n’en dors plus. T’aura rum des turbulences ? Même si je sais que ce n’est pas ´dangerzux’ je me passe n boucle les catastrophes et ça ne me rassure pas du tout. Merci de votre réponse
Bonjour Sandra, je n’ai pas compris tout votre message, mais pour la météo il faut revenir demain matin, il est pour l’instant trop tôt pour avoir des informations précises. Par contre, il faut arrêter de regarder des images d’accidents : le visuel touche le cerveau des émotions et les réponses rationnelles et rassurantes ne dominent plus. En gros la connaissance des informations rassurantes (comme le fait que les turbulences ne soient pas dangereuses) est moins fort que la vision d’accidents, même si c’est sur un écran.
C’est pour ca qu’il faut travailler les techniques cognitives (l’objectif est de garder le cortex fonctionnel), apaiser le cerveau des émotions via la respiration, et marquer la mémoire émotionnelle de manière positive, c’est le rôle du simulateur de vol. Vous trouverez toutes les informations ici http://www.peuravion.fr/
Bon voyage !
Xavier